Toutes Les Femmes SAppellent Marie : Marie Hélène
Marie Hélène est homosexuelle. Elle ne sen cache pas beaucoup et porte même une bague de reconnaissance de son appartenance à la communauté lesbienne à lauriculaire gauche.
Assez grande, les cheveux courts, toujours vêtue dun pantalon, pas de poitrine, elle est larchétype de lhomosexuelle. Je la connais depuis longtemps et connais également son amie de cur Maïté, une rousse flamboyante, bien pourvue par la nature au niveau de la poitrine quelle arbore fièrement lété sans soutien gorge sous des boléros légers faisant fantasmer quelques hommes par provocation. En public, elles ne manifestent rien et nont aucun geste de tendresse lune envers lautre.
Les hommes jaloux médisent et en font des gorges chaudes. Certains essaient de draguer la rousse qui naime pas les « lourds » et adore les faire baver denvie. Quand à Marie Hélène, dans ces cas-là, soit elle séloigne, soit elle lance des regards furibonds vers son amie. Je me marre de la situation et ne cherche absolument pas à mimmiscer dans leur relation leur montrant même que je les comprends.
Un jour, je remarque que Marie vient accompagnée dun homme. Elle va dailleurs vivre ensuite quelques années avec lui. Je ne pensais pas au départ quelle fût « à voile et à vapeur », mais je saurais plus tard que leur relation était assez « particulière ». Les deux femmes avaient des hommes « alibis » leur permettant de faire croire quelles étaient « normales » lhomosexualité en ce temps là étant assez mal vue elles se fabriquaient ainsi une façade « honorable »
Notre histoire commence quelques années plus tard, à loccasion dun déplacement auquel nous sommes, sans le savoir au départ, invités tous les deux pour des motifs différents. Marcel, un ami commun ma sollicité pour mes compétences informatiques et Marie Hélène pour des raisons plus
obscures.
Avec Marcel nous partons toujours tôt vers six heures du matin. En plein hiver il fait encore nuit car avons huit cent kilomètres de voyage.
Après deux heures de route il sarrête pour une pause sur une aire dautoroute. Je me retrouve seul avec Marie Hélène alors que Marcel est parti aux toilettes. Tout en dégustant un café je discute avec elle
- « Cest marrant de te voir là. Comment ça se fait que Marcel taie fait venir avec nous ?
- Cest
un peu compliqué
- Bon, bon. Tu sais
Après tout je men fous, cest histoire de parler
Ce que vous faites ne me regarde pas
- Ce quon fait
Ce quon fait
Bon
De toute façon tu ten rendras bien compte. Tu me promets dêtre discret hein ?
- Bien sûr ! Pas de problème
Je sais être discret, tu me connais !
- Oui ! Je sais que tu nas jamais été
moqueur
par rapport à
moi
à nous
Enfin
tu vois ce que je veux dire
- Oui ! Ne tinquiète pas ! Je ne suis pas comme ces lourdauds intolérants vis-à-vis des
homos !
- Cest ça ! Voilà
Il ma
disons
dépannée il y a quelques temps
Javais des problèmes
dargent
Il ma prêté un bonne somme et il ne ma rien demandé en échange. La semaine dernière il ma proposé ou
suggéré de venir avec vous pour la semaine. Je pense quil est temps pour moi de
le
remercier
- Non ! Tu veux dire
En
nature ?
- O
Oui
Je crois !
- Mais
Tu naimes pas les hommes !
Pardonne-moi !
- Je préfère les femmes, tu le sais bien, mais je naime pas
les hommes en général
- Je ny crois pas ! Tu vas donc te
vendre ! Te
prosti pour payer ta dette !
- On peut le voir comme ça ! Oui !
- Et
Tu acceptes ça
comme ça ?
Ou alors
Ça te plait ?
- Ça ne me plaît pas vraiment, mais je dois le faire ! Je ne peux pas
refuser !
- Tu las promis ?
- Non !.
- Je ne te juges pas
je
»
Le retour de notre compagnon nous interrompt. Nous finissons nos cafés en silence et reprenons la route. Marcel me laisse le volant et passe à larrière ou il va très vite dormir. On se retrouve avec Marie Hélène tous les deux à lavant et quand jentends ronfler lautre à larrière, jéchange un sourire de connivence avec ma passagère. Tendrement, elle pose sa main sur la mienne qui tient le levier de vitesses et me souris. Le voyage se poursuit sans problème après une seconde pause « pipi » car notre compagnon a besoin de fréquents arrêts. Il nest plus tout jeune et sa prostate le travaille.
Lorsquon arrive à destination nous avons la surprise de navoir que deux chambres à deux lits à disposition. Pour notre « ami » cela ne lest pas vraiment. Il a « invité » Marie Hélène avec lidée de la mettre dans son lit et nen a pas averti lorganisateur ami qui nous reçoit et na surtout rien dit à personne. Nous échangeons un regard mi désolé-mi amusé avec Marie Hélène.
Nous nous installons les deux hommes dans une chambre et Marie Hélène dans lautre. Jusque là les apparences sont sauves. Nous sortons dîner et sans traîner vu lheure matinale du départ, nous retournons à nos chambres.
Je me déshabille et mapprête à prendre une douche quand mon compagnon de chambre, me déclare en souriant quil « passe à côté ». Il est déjà en caleçon et en tee shirt à lancienne, appelé « marcel » bien sûr. Je rigole de le voir partir ainsi et je file dans la salle de bain.
Quand je sors de la douche Marcel est déjà de retour et sest couché. Je me dis quil a fait très vite son « affaire ». Il marmonne « quelle salope », se retourne dans le lit et sendort. Je me marre car il a dû prendre un « vent » de la part de la gouine.
Je me couche à mon tour mais au bout de cinq minutes il se met à ronfler. Un ronflement horrible, sorte de borborygme suivi dune longue pause durant laquelle il ne respire pas.
« Quest-ce quil y a encore ?
Excuse-moi ! Cest Jean. Je narrive pas à dormir avec lautre qui ronfle comme une chaudière. Est-ce que tu pourrais mhéberger cette nuit ? Je pourrais dormir dans lautre lit sans te déranger !
Ah
Euh
Oui... Attend un peu »
Jentends la clé tourner dans la serrure, jattends un peu et elle dit « Tu peux entrer ». Elle est recouchée recouverte par le drap qui est remonté sous son menton. Je passe devant elle et jouvre le second lit pour me coucher et lui tourne le dos.
« Merci ! Excuse-moi encore, mais cest vraiment intenable à côté ! Bonne nuit ! Nhésite pas à me secouer si je ronfle !
Tu veux vraiment dormir ? Tu ne préfères pas venir ici ? »
Je me tourne alors vers elle. La lumière est toujours allumée et je la découvre. Elle a repoussé le drap sur ses pieds et elle est entièrement nue. Je suis estomaqué de la voir comme ça !
« Tu es superbe je suis sincère Mais je croyais que tu
Je sais ! Tu penses que je naime pas les hommes ! Ça dépend en fait ! Les malotrus non, mais tu nes pas comme ça. Alors, jattends ! Décide-toi ! Cest oui ? Ou cest non ? Je ne te plais pas peut-être ?»
Je me lève retire prestement tee shirt et caleçon pour mavancer vers elle, nu et bandé.
- « MMMhh ! Dit-elle en regardant mon sexe tendu. Ça change de lautre vermicelle ! »
Debout à côté du lit Je détaille son corps. Marie Hélène a de très longues jambes musclées. Cachées dans ses éternels pantalons on ne peut les voir et cest dommage car cela leur donne beaucoup de charme. Peu ou pas de seins mais des tétons très bruns et surtout bien dressés ! Son bassin est large et son ventre plat et musclé par la pratique sportive.
Une fine bande verticale de poils noirs et drus au dessus du sexe lui même épilé, offre le plus bel effet.
Marie att ma bite et me branle doucement. Je me penche et lembrasse sur la bouche. Sa langue vorace senroule autour de la mienne. Jai rarement été embrassé comme ça et je bande encore plus fort ! Il faut que ce soit une gouine qui y parvienne ! Enfin pas si gouine que ça finalement
Abandonnant sa bouche je tête maintenant un téton. Il est extrêmement dur et Marie réagit fort en plaquant ma tête sur son sein puis en la tirant en arrière en criant « arrête !»
« Pardon ! Je tai fais mal ?
Non ! Au contraire ! Jai failli jouir !
Alors ne marrête pas !
Jai envie den profiter plus longtemps !
Je croyais que les femmes pouvaient jouir plusieurs fois en suivant !
Cest
Cest vrai
Mais cétait si fort ! Vas-y !
Jai envie aussi de goûter à ta chatte. Je suis sûrement moins doué quune femme, mais je me débrouille assez bien !
Arrête avec cette histoire. Je sais que tu feras bien ! Viens me gouiner salaud ! »
Je plonge sur sa chatte qui coule dabondance. Très vite Marie se cambre, moffrant sa liqueur. A nouveau elle tire ma tête en arrière.
- « Salaud ! Tu te débrouilles vraiment très bien ! Viens me baiser ! »
Je découvre une femme très directive quand elle fait lamour alors que dans la vie elle paraît plus effacée. Jabandonne sa chatte avec regret et remonte sur elle. Elle empoigne ma bite et sa main guide la dans sa chatte. Je lembrasse lui transmettant sa propre mouille sans quelle ne se dérobe. Sa langue toujours aussi active récupère tout et senfonce dans ma bouche comme pour me pénétrer dun sexe virevoltant.
Ses longues jambes entourent alors ma taille et tour à tour, ses muscles puissants plaquent mon bassin ou me lâchent au rythme quelle décide. Elle se sert de moi et de ma queue comme un gode vivant. Dans le couple quelle forme avec Maïté, ce doit être elle qui fait office de mâle. Cest elle qui doit diriger la manuvre !
La situation est néanmoins très agréable et je ne men plains pas. Japprécie et je sens au contraire monter mon orgasme, mais je ne veux pas la louper non plus. Je saisi alors lun des tétons érectile pour le rouler entre deux doigts et leffet est quasi immédiat. Marie se cambre en s'entraînant entre ses jambes et jouit fort en criant.
« Salaud ! Tu me fais jouir ! Tes un salaud ! Jaime ça oui ! Donne-moi ton jus ! Salaud !
Tiens salope ! prend ça ! Je jouis ! Putain que cest bon ! »
Je m'écroule sur elle toujours enserré entre ses jambes qui enfin me libèrent quand elle ne peut plus tenir.
On transpire. Mon cur bat à cent à lheure. Jai pris un pied terrible avec cette femme. Bizarrement, je ne débande pas tout de suite. Jai envie de profiter encore de ce corps. Je me soulève, la retourne sur le lit, lui relève les fesses et la prend en levrette. Elle sest laissée faire et sabandonne totalement à mes pulsions. Plus tard elle mexpliquera que cest la première fois quelle se retrouve dans une position passive que finalement elle adore.
Dans cette position cambrée, ses longues cuisses mettent son vagin à la hauteur idéale pour ma bite. Agrippé à ses fesses, jimprime un rythme parfois rapide, parfois lent en ressortant de temps en temps complètement de sa chatte pour me réintroduire ensuite à fond. Je ne peux mempêcher dadmirer son corps. Je ne sais si cest la pratique sportive mais cette femme qui a un torse fin et sans poitrine, a des hanches larges qui ressortent encore plus dans cette position. Malgré ma première éjaculation, je sens à nouveau ma sève monter. Je me penche, la redresse contre moi et jatt ses tétons.
Dès que je les triture un peu elle jouit à nouveau rapidement. Bien planté en elle jéjacule à nouveau dans sa chatte. Nous sommes tous les deux « crevés » par ces deux orgasmes et on seffondre sur les draps pour récupérer. Marie a du mal à retrouver son souffle, pourtant cest elle la sportive. Elle se pelotonne contre moi. Cest assez attendrissant de voir le grand corps musclé de cette femme à la tendance homosexuelle prononcée, se coller à moi comme une petite fille heureuse.
Alors que nous récupérons, jen profite pour la caresser. Là aussi cest curieux comme sensation. Ses cuisses sont dures comme celles dun homme. Ses tétons très bruns réagissent tout de suite et se tendent. On sembrasse, on se cajole, on se caresse, bref on est bien. Je demande à Marie Hélène ce qui sest passé avec Marcel :
« Il sest pointé en caleçon et « marcel »
Oui ! Jétais mort de rire en le voyant quand je suis parti sous la douche.
Il aurait mieux fait de faire comme toi ! Il puait la transpiration !
Lémotion sûrement !
Oui, une émotion qui lempêchait de bander ! Jai failli ne pas trouver sa bite sous son gros ventre et au milieu de poils !
Moi aussi je suis poilu.
Là où il faut oui, mais ta bite et tes couilles sont toutes lisses, cest vachement bien dailleurs !
Tu aimes ?
Oui. Cest la première fois que je vois un mec qui sentretient comme ça. Enfin
Je nai pas beaucoup dexpériences non plus
Et alors, tu las jeté ?
Non ! Comme je tai dis, je pensais que je devais le « récompenser » de son aide. Jai commencé à le branler. Voyant que rien ne venait, je me suis déshabillée, jai même essayé de le sucer
enfin
tu vois
Oui, je vois ! Tu le fais dailleurs très bien !
Merci. Mais avec toi, jaime
Donc lui, il a été finalement si vexé de ne pas bander, quil a remballé son sifflet et il est reparti en bougonnant.
Jai vu ! Il était couché quand je suis sorti de la douche et il râlait tout seul en te traitant de salope ! La suite tu connais. Cest vraiment atroce comme il ronfle !
Tant mieux ! Puisque cest ça qui ta fait venir dans ma chambre ! Enfin
. Cest ce que tu dis ! Tu avais peut-être une petite idée toi aussi ?
Franchement, non ! Je tavais cataloguée lesbienne, donc je naurais rien à tenté envers toi. Je cherchais simplement à dormir. A ce moment-là jétais vraiment fatigué !
Pour quelquun de fatigué, tu assures pas mal mon salaud ! »
A ce moment, son téléphone vibre sur la table de nuit. Je suis le plus près. Je men saisi et vois sur le cadran que cest son amie Maïté, aussi je décroche.
« Allo Chérie ! Dit-elle
Ce nest pas ta chérie, cest Jean. » Marie tente de me prendre le mobile mais je len empêche.
« Que
Mais
Je
Il se passe quelque chose ?
Oui ! Ta chérie est en train de récupérer après que je laie baisée deux fois
Je
Mais
Tu sais quand même que ça lui arrive de baiser avec un mec ?
Je
Oui !... Non !...Enfin
Mais avec toi
je ne pensais pas que
Moi non plus. On texpliquera plus tard pourquoi. Je dois te dire quon a pris tous les deux un sacré pied !
Oh oui ! Sexclame alors Marie. Pardon Chérie ! Cétait trop fort ! » Cest la première fois que je vois un élan de tendresse entre les deux femmes. Je ne me rends pas compte tout de suite mais je bande. Marie matt la bite puis se penche dessus pour la sucer. Je reprends la conversation avec sa Maïté.
« Tu sais ce quelle fait ta chérie en ce moment ? Elle me suce ! Il y prend goût la cochonne !
Salaud ! Tu en profites ! Moi aussi ça mexcite de vous savoir tous les deux !
Ah bon ? Et
Tu es habillée ?
Je
O
Oui
Enfin
en chemise de nuit
Je suis au lit.
Alors mets-toi à poil. Je suis sûr que tu mouilles ! Tu vas te branler avec nous. Toi aussi tu mexcites !»
Jentends du bruit dans le téléphone. Marie, elle, a entendu mes paroles et doit être aussi excitée. Elle grimpe sur moi, menjambe et guide elle-même ma queue dans sa chatte. Elle se laisse descendre et entame un va et vient vertical et horizontal appuyée de ses mains sur mon torse elle se baise, reprenant ainsi une position dominante. Je décide de commenter notre coït à sa chérie. Je lui décris ce corps quelle connaît bien et que je déclare adorer, ses petits seins aux tétons réactifs, sa chatte qui malaxe ma bite tendue au maximum
Des deux côtés les soupirs montent. Les muscles internes de Marie massent ma queue. Dans mon oreille je sens que Maïté ne va pas tarder à jouir. Je demande alors à ma « cavalière » de se caresser les seins. Les deux femmes jouissent en même temps. Marie se couche alors sur moi pour membrasser et je mets le combiné entre nous avec le haut parleur pour partager lorgasme de sa chérie.
-« Salauds ! Salauds ! Vous êtes deux salauds ! Jai joui comme une folle. Je regrette de ne pas vous voir !
- Rassure-toi, dis-je. Au retour, on se retrouve tous les trois ! Jai très envie de vous regarder baiser toutes les deux et de vous baiser toutes les deux !
- Eh bien toi ! Tu ne manques pas dair !
- Je sais maintenant que vous aimez aussi les hommes, lune comme lautre. Jadore baiser avec Marie et je compte bien en profiter cette semaine. Dimanche prochain on se retrouve chez toi pour te raconter.
- Daccord espèce de... salaud !... Je tembrasse ma chérie !
- Je taime ! Répond Marie Pardon ma chérie ! Mais ce salaud mexcite et me baise si bien !»
Je raccroche. Marie membrasse avec sa langue toujours aussi « pénétrante » Pendant tout ce temps je bande toujours et elle sen rend compte.
« Mais ! Tu nas pas joui ! Attend ! Je vais te sucer !
Non ! Non ! Je préfère en garder pour demain !
Toi alors ! Cest la première fois que je vois un mec qui ne pense pas quà gicler !
Cest pour ça que tu aimes baiser avec moi !
Sans doute ! Je crois quon va samuser pendant la semaine ! »
Sur cette bonne parole nous rapprochons le second lit pour rester lun près de lautre et nous endormons enlacés.
La nuit de sommeil me requinque dautant que jai dû mendormir profondément en quelques secondes. A mon réveil la lumière de la chambre est allumée. Il est à peine sept heures du matin au réveil qui vient de sonner. Malgré la courte nuit je me sens en forme. Pourtant la veille, entre un lever à cinq heures du matin et la « séance » du soir jai pas mal donné ! Cest justement le souvenir des acrobaties nocturnes qui me réveille complètement. Je me tourne et je trouve Marie Hélène couchée sur le côté près de moi, la tête posée sur son bras et qui me regarde.
« Jai beaucoup ronflé ? Je tai réveillée ?
Je ne sais pas, parce quil y a que quelques minutes que jai ouvert les yeux et je te regarde depuis. Je nen reviens pas de ce quil sest passé !
Moi aussi jai du mal à le croire ! Jai adoré ! Je ne sais pas ce quil en est pour toi. Si tu veux quon arrête là, pas de problème !
Tu es fou ? Maintenant que je tai découvert, je ne te lâche pas comme ça !... A moins que ça te gêne dêtre vu avec une gouine ?
Avec une belle gouine comme toi, je suis plutôt flatté au contraire !
Tu me trouves belle ? Jai pas de seins, des cuisses et des jambes de mec
Arrête ! Tes tétons sont hyper réactifs et franchement, à poil tu es superbe !
Toi aussi tu me plais !
Pourtant il y a de plus belles vues que la mienne.
Ny crois pas !
Un corps de femme est plus beau pour toi, non ?
De ton point de vue sûrement. Mais tu as compris que si jaime les femmes je ne déteste pas ta belle queue et je peux te dire que ce que je vois : Ta bite, tes poils et le reste, me plaît beaucoup ! Je suis heureuse de baiser avec toi. Je ny avais jamais pensé moi non plus. Cette heureuse circonstance est géniale !
Tu es gentille !
Non ! Excitée ! Et comme tu bandes déjà, mon salaud, jai envie que tu me baises ! »
Je bascule sur le côté, me couche sur elle et guidé encore une fois par sa main, je la pénètre sans attendre. La sachant gouine je pensais quelle préférait la douceur des préliminaires, mais Marie démarre aussitôt. Elle soulève son bassin à la rencontre de ma queue, réclamant encore plus de force.
- « Vas-y salaud ! Défonce-moi ! Jaime ça ! Cest bon ! Jaime ta bite ! »
Tout ceci crié fort, ce qui nous vaut quelques coups contre la cloison de la part du voisin qui nest autre que Marcel ! Cela ne nous empêche pas de continuer. Marie est déchaînée. Je la soupçonne avec raison, elle me le confirmera après, dexagérer ses cris pour ridiculiser notre voisin.
Elle serre à nouveau ses jambes à ma taille pour que je la pénètre au plus profond et jouit en criant pendant que jexplose à mon tour au fond de sa chatte. Je pense alors que nous ne nous sommes pas protégés, mais il est trop tard ! Le mal, si mal il y a, est déjà fait depuis hier soir !
Durant la douche commune qui suit, nous continuons les caresses et les baisers. Je maccroupis dans le bac pour lécher sa moule qui dégouline. Malgré tout, nous devons abréger car Marcel nous attend et nous la signalé en frappant à la porte. « Je descends déjeuner ! Je vous attends en bas ! On part dans une demi-heure !
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